Clémence « L’Aristocrate » Son Bonheur ! (Partie 7 Et Fin)

Avant de quitter la maison, lorsque Abdelkrim de son petit nom Krimau, m’avait invité au restaurant, j’avais prévenu mon mari par téléphone et je fus très surprise de sa réaction, il accepta volontiers mon absence, en ajoutant amuse-toi bien. D’autre part, je ne savais pas ce qu’avait pu dire Fadoul à son futur beau-frère, mais Abdelkrim était probablement au courant de la relation sexuelle que j’avais eu avec le jeune marocain le jour de l’anniversaire de mariage de son père. Nous sommes donc montés toutes les deux à l’arrière de la voiture de luxe pour aller diner, je m’étais remaquillée légèrement et j’étais vêtue comme à l’accoutumé mais dans le restaurant marocain, en vieille ville, le principal était que dans cet endroit, personne ne me connaissait.

Je n’avais que très bu, ces gens-là, ne consommaient pas d’alcool, j’avais trouvé délicieux le couscous et après le dessert, Abdelkrim m’invita à les rejoindre dans la suite qu’il avait réservé dans un, des plus grands hôtels de la ville. Malheureusement, même si j’avais très envie de rester avec Farah, je ne pouvais pas aller avec eux, il était très tard et je dis à Krimau que Pierre-Louis ne me permettrait pas de découcher :
— Ne t’inquiète pas Clémence, j’ai tout prévu. Ton mari est actuellement avec le consul en bonne compagnie et il te laisse quartier libre pour toute la nuit, si tu le décides.
— La nuit ? Lui répondis-je.
— Tu ne veux pas faire tes adieux à Farah ?
— S’il te plait ma chérie, viens avec nous, j’ai besoin de toi. Répondit Farah en m’embrassant.

L’hôtel où était descendu le couple de marocains se trouvait à deux pas de la vieille ville, nous y sommes allés à pieds, Krimau avait à ses bras Farah à sa gauche et moi à sa droite. Voyant la tête du réceptionniste nous dévisager toutes les deux, son regard en disait long, il enviait ce prince d’avoir deux superbes créatures dans son lit pour cette nuit. Oui ! je savais dès à présent ce que je m’apprêtais à faire.

Faire l’amour à trois était un rêve caché pour moi et j’allais réaliser un fantasme une nouvelle fois. J’étais très excitée à la pensée de reconnaitre la jouissance avec Farah mais en plus, j’aurais la possibilité de prendre mon pied avec une verge. Celle de Krimau ne devait pas être anodine, j’étais persuadée qu’il saurait me donner beaucoup de plaisir, j’en mouillais déjà le fond de ma culotte.

Arrivée dans la suite, avec Farah nous nous sommes dirigées dans la salle de bain, elle m’expliqua ce qu’attendait son futur mari. Il voulait nous voir faire l’amour puis venir participer à nos ébats lorsqu’il en aura envie. Le serveur, un jeune africain avait apporté le thé à la menthe et était reparti avec des yeux ronds lorsqu’il nous avait vu sortir de la salle de bain à moitié nues. Abdelkrim était un très bel homme, il était nu sous son peignoir. Il n’avait pas un excès de graisse, mince, longiligne mais musclé. Il s’installa sur un fauteuil et en sirotant son thé bouillant en faisant un bruit d’aspiration, il nous dit d’un ton malicieux :
— Allez-y les filles, c’est la première fois que j’assisterai à une partie entre deux femmes. Faites-vous plaisir.

J’avais des difficultés à me concentrer, sa présence à mes côtés me bloquait malgré les caresses et les baisers que Farah me faisait vivre, elle m’embrassa dans le cou et me dit à l’oreille :
— Lâche-toi Clémence, montrons-lui que nous nous aimons. Dans cinq minutes, tu ne penseras plus à lui.
— Ce n’est pas ça, mais crois-tu qu’il aura envie de moi ?
— C’est pour ça que tu es là ma chérie ? Embrasse-moi et caresse-moi comme tout à l’heure.

Elle approcha ses lèvres des miennes pour un baiser fougueux. Ses lèvres collées aux miennes, elle m’embrassa à pleine bouche Comme quelques heures auparavant, c’était magique, j’étais transportée dans un bonheur total, je tombais amoureuse d’une femme. Farah était divine, elle savait être douce, pleine de tendresse mais également très coquine quelque peu vicieuse.
Nous étions allongées nues sur le tapis, nous caressant, nous embrassant partout simultanément.

Ce fut cet instant que choisit Farah pour se lever et quitter la pièce, me laissant ainsi, gisant sur le sol. J’avais très vite oublié le voyeur dans son fauteuil qui nous matait quand mon regard se porta sur lui. Sans être en pleine érection malgré sa main autour de son pénis, qu’il se masturbait délicatement, Krimau me regarda et me sourit sans rien dire. Ma jeune amie marocaine revenait avec entre les mains un drôle de Sextoy. Un double gode ceinture en silicone, couleur chair. Elle s’en équipa en enfilant les huit cm de verge de son côté, dans son vagin, passa la sangle sous elle et me demanda de fermer la boucle à l’arrière la ceinture. Elle avait devant elle, dans son entrejambe une verge d’une quinzaine de centimètres, qu’elle portait comme un garçon :
— On va se faire mutuellement plaisir ma chérie. Dit-elle en souriant. Après, ce sera ton tour.

Le gémissement que ma douce amie Farah avait poussé en s'enfilant le sexe synthétique avant que je le sangle, m'avait fait très envie à lui seul. Elle vint vers moi, me déposa un bisou sur les lèvres puis m'avait ensuite écarté délicatement mais largement les cuisses. Elle avait posé le gland du phallus synthétique sur ma petite chatte gourmande et lentement, très lentement, toujours en me fixant dans les yeux pour surveiller le moindre signe annonciateur de douleur, elle m'avait pénétrée. M'enfonçant le gode entre les cuisses, me dilatant. Puis elle était ressortie entièrement, et m'avait pénétrée de nouveau, elle recommençait doucement, très lentement encore et encore. Rien à voir avec une pénétration masculine qui labourait l’intérieur d’un vagin. Finissant par aller et venir et fouillant ainsi dans mon sexe, mes yeux se révulsèrent de plaisir, je gémis en agrippant Farah par les fesses pour l'incruster plus profondément en moi, l'encourageant du geste et de la voix :
— Ouiii !!! Encore !!! C'est trop bon ma chérie baise-moi !!!

La jeune marocaine fit entrer et sortir le gode de mon sexe, sur un rythme guidé par le plaisir qu’elle prenait avec la deuxième partie du sexe en silicone fiché dans son propre vagin.
Couchée sur moi, elle me prenait comme un amant et en même temps, le sexe de 8 cm enfoncé dans sa propre chatte lui faisait monter le désir. La pièce n’était plus qu’un concert de gémissement, les miens et ceux de Farah, auxquels se joins ceux de Krimau qui nous regardait ayant le jeune serveur, à la peau d’ébène, torse nu entre ses cuisses continuant sa fellation.

Abdelkrim me voyait me tortiller de plus en plus sous les coups de queue de Farah, qui elle-même gémissait de plus en plus fort. J’ondulais du bassin et je cambrais pour offrir mon sexe à l’engin en plastique. Mes gémissements s’accéléraient petit à petit pour se transformer en râle quasi continu, tandis que ma jeune amie commençait à crier en étant secouée de tremblements. Soudain, je me soulevai du tapis, hurlant à gorge déployée, ruinant le tissu, de ma cyprine, pendant que Farah jouissait également. Le souffle court, la poitrine écrasée sous celle de ma douce marocaine qui s’était elle-même affalée sur moi, après notre orgasme simultané. Après quelques minutes de repos, Farah enleva le gode ceinture et demanda à son futur mari de venir s’agenouillé à côté de moi. Ce qu’il fit volontiers, suivi immédiatement du jeune malien qui lui caressait les bourses, la tête enfuie dans la raie de ses fesses :
— Krimau ! Caresse-lui les seins pendant qu’elle me lèche le minou.

Comment pouvait-il refuser à un tel ordre ? Il glissa une main sous mon bras pour pouvoir aller flatter ma poitrine, me sentant frissonner au contact de mes doigts sur ma peau nue. Mes mamelons s’érigèrent de plus belle, m’enhardissant un peu, ma langue commençait à venir fouiller le sexe de ma petite amie, tandis que Krimau me pinçait les tétons en malaxant mes seins fermes, je sentais sa respiration s’accélérer, ses seins se soulevèrent lorsque je lui caressais la poitrine, la bouche contre sa vulve. Elle se mit à pousser des soupirs de plus en plus encourageants. Je m’abandonnais à ce tourbillon érotique et la léchais et la fouillais de plus belle.

— Hum !!! ouiii !!! lâcha-t-elle soudain en serrant les cuisses sur ma tête prisonnière de se mains.

Puis, ne sachant que faire, je m’écartai de son sexe pendant qu’elle digérait son orgasme. Abdelkrim venait de cesser ses caresses, il repoussa le jeune serveur, il n’en pouvait plus, il avait sa verge en feu et devait faire exploser ce qu’il avait secréter. Il se plaça derrière moi et me sodomisa sans dire un seul mot sous les regards indignés du jeune africain qui pensait ne pas avoir reçu ce qu’il était venu chercher. Je fus sodomisé tout en douceur et avec amour, Krimau était doux malgré la belle verge qui prenait mon cul, il allait et venait délicatement, tout en ayant sa bouche sur celle du jeune malien. Après quelques minutes, je ressentis toute la puissance de son éjaculation dans mon conduit et je m’étais crispée, tendue de tous mes muscles, mon orgasme était une nouvelle fois foudroyant laissant échapper toute mon effluve sur le beau tapis de cette suite. Je m’étais écroulée sur Farah, l’embrassant à pleine bouche, sous les yeux du jeune africain qui reprenait les bourses de son amant dans la main et son phallus recouvert de sperme entre ses lèvres afin de lui redonner une santé :
— À toi ma chérie ! C’est ton tour ! Viens, relève-toi que je t'équipe du double engin.

Docilement, je me suis relevée et regardai, un peu inquiète, Farah s’approcher avec le monstrueux gode. Elle guida alors le sexe interne de 8 cm vers moi, et d’une main aussi douce que précise, elle me l’enfonça dans la vulve avec délicatesse, me faisant gémir à nouveau de plaisir jusqu’à ce que mes lèvres intimes embrassent la base du sextoy puis elle l’attacha dans mon dos. J’étais prête à agir ainsi équipée, je pensais que je devais m’occuper de ma jeune marocaine mais il n’en fut rien, celle-ci dit à son futur mari et à Moussa :
— Allez les gars à quatre pattes.

Les deux hommes s’exécutèrent, placés côte à côte, attendant que je prenne possession de leurs fesses. Me voyant rester immobile ne sachant que faire, Farah m’ordonna :
— Allez ma chérie ! Prends-les ! Encule-les, ils n’attendent que cela. Mets-leur dans le cul !

Saisissant alors l’engin d’une main hésitante, je finis par le glisser entre les cuisses de Krimau, puis posant mes mains sur ses hanches, je m’enfonçai maladroitement à l’intérieur, il était bien dilaté, prenant le sexe en silicone tout au fond de son rectum. Visiblement, j’avais peur de lui faire mal car j’entendis rapidement :
— Vas-y ! Baise moi fort ! M’ordonna-t-il.
Du coup, je fis jouer mon bassin d’arrière en avant et de plus en plus vite, puis de plus en plus fort.

Krimau se mit alors à gémir à chaque fois que je m’enfonçais en lui, pendant que Moussa le masturbait. La situation était tout à fait exceptionnelle pour moi, l’autre partie plantée dans mon propre sexe me faisait gémir de plus en plus, je me démenais tellement bien que je finis par jouir très fort. J’étais épuisée, je suis restée plantée dans ses fesses sans pouvoir bouger, Krimau avait pris son pied mais le pauvre serveur était une nouvelle fois exclu de la partie. Le marocain se releva, en embrassant son jeune protégé et lui dit :
— Cette fois mon grand, prépare-toi ce ne sera pas du silicone que tu vas prendre dans le cul. Lui dit-il en enfilant son préservatif.

Pendant ce temps, avec Farah, nous nous étions levées toutes les deux pour nous retrouver à la salle de bain, j’avais connu une soirée d’amour comme je n’en avait pas vécu depuis bien longtemps. Nous nous sommes couchées ensemble pendant qu’Abdelkrim resta avec son jeune africain, dans le convertible du salon.

Nous avions dormi comme des anges, couchées dans les bras l’une de l’autre, je savais que mon bonheur ne pouvait pas durer, dès que ma jeune amie serait mariée, son mari s’accaparerait d’elle et que je ne pourrais plus revivre ces instants de joie et de tendresse. Le lendemain matin après s’être préparées, au petit déjeuner dans la salle de l’hôtel, j’étais à côté de Farah qui me tenait la main. Elle m’avait simplement dit, juste avant de descendre qu’Abdelkrim désirait me parler :
— Alors Clémence ! Comment as-tu trouvé ta soirée ?
— Je dois t’avouer que c’était pour moi magique et je trouve dommage que je ne puisse revivre des moments tels que ceux-là.
— Que dis-tu là ! Justement à ce propos, nous avons parlé longuement avec Farah. Je voudrais te proposer de participer à notre bonheur.

Krimau s’exprima longuement, en m’expliquant qu’après leur mariage, ils devaient passer pour un couple ordinaire qui s’aime toute la semaine, c’était une évidence pour son métier. Mais Farah étant lesbienne et lui aimant faire des folies avec des garçons, ils envisageaient de se laisser la soirée du vendredi pour se lâcher à leur libido. Je ne pouvais plus baiser avec des types choisis au hasard dans les bars, que mon mari savait tout ce qui se passait dans cette ville :
— Que dirais-tu de revivre cette soirée tous les vendredis ?

Devant l’insistance et l’envie que je lus dans les yeux de Farah j’acceptai leur offre. C’est ainsi que je vis depuis plus de dix mois. Je subis toujours la fougue et la sodomie sauvage avec Pierre-Louis mais la volupté avec ma douce marocaine. Je suis donc comblée et le serai tant que cela durera car mon mari connaissant l’homosexualité de Krimau pense sérieusement qu’il ne me touche pas. Pour lui, que je vive quelques moments d’amour avec une femme le dérange beaucoup moins, d’autant plus qu’il en profite pour se passer les nerfs sur les femmes qu’il paye pour cela.

Chères lectrices et chers lecteurs, j’aimerais votre sentiment. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Bisous.
Si comme Clémence vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email. cyp.perruche@orange.fr

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